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Compte rendu chronofilmologique de la grimpe poitevine ces derniers temps... 37,2°C Le Matin à Saint anthonin : Les ingénieurs matériaux de la grimpe bravent l'hiver et s'offrent quelques jours de bronzage, de grimpe et de bartasse à la magnifique falaise du capucin (beubeu passe même pas moins de l'insolation : véridique).
Le bon falaisiste, la brute résineuse et l'Open de Poitiers : Les compétiteurs s'affrontent dans une orgie de résine, de prises aux couleurs chatoyantes et d'acide lactique bien mérité...alors que 2 cowboys solitaires (en mal de licence ffmeuh à moins que ce ne soit de motivation ou les deux) préfèrent profiter du soleil à Beauvoir.
Les eaux claires II, retour dans l'enfer polaire : Les deux sex-symboles de la grimpe poitevine se rendent au bloc de la brioche malgré le froid, la gueule de bois et le repas copieux chez les parents.
Confrontés à la bise hivernale, nos deux héros mettent au point une tactique élaborée pour réussir à grimper tout en sentant le bout de leur doigts:
pause des dégaines, travail des pas, puis attente dans la voiture avec le chauffage au max pour sortir en courant et les chaussons au pied et enchainer le plus vite possible.
Ce stratagème permet au plus fergalien des deux d'enchainer un 8a et de laisser un bout de doigts dans la falaises. (pour les filles qui désireraient récupérer l'adn et ainsi essayer une fécondation in vitro, c'est dans "le but et le voyage" à gauche de la brioche).
La compét de Tours infernale : Les compétiteurs avides de vengeance après leur déconvenue à l'open de poitiers se rendent à Tours pour une compét infernale : mur pourri avec des fonds de plaques, isolement qui commence à 18h dans un vestiaire qui sent les toilettes mal débouchées....les premières rumeurs parlent d'un gagnant chez les Fergeau dans la catégorie benjamin : un futur petit mutant?
Le bon falaisiste, la brute résineuse et l'Open de Poitiers : Les compétiteurs s'affrontent dans une orgie de résine, de prises aux couleurs chatoyantes et d'acide lactique bien mérité...alors que 2 cowboys solitaires (en mal de licence ffmeuh à moins que ce ne soit de motivation ou les deux) préfèrent profiter du soleil à Beauvoir.
Les eaux claires II, retour dans l'enfer polaire : Les deux sex-symboles de la grimpe poitevine se rendent au bloc de la brioche malgré le froid, la gueule de bois et le repas copieux chez les parents.
Confrontés à la bise hivernale, nos deux héros mettent au point une tactique élaborée pour réussir à grimper tout en sentant le bout de leur doigts:
pause des dégaines, travail des pas, puis attente dans la voiture avec le chauffage au max pour sortir en courant et les chaussons au pied et enchainer le plus vite possible.
Ce stratagème permet au plus fergalien des deux d'enchainer un 8a et de laisser un bout de doigts dans la falaises. (pour les filles qui désireraient récupérer l'adn et ainsi essayer une fécondation in vitro, c'est dans "le but et le voyage" à gauche de la brioche).
La compét de Tours infernale : Les compétiteurs avides de vengeance après leur déconvenue à l'open de poitiers se rendent à Tours pour une compét infernale : mur pourri avec des fonds de plaques, isolement qui commence à 18h dans un vestiaire qui sent les toilettes mal débouchées....les premières rumeurs parlent d'un gagnant chez les Fergeau dans la catégorie benjamin : un futur petit mutant?
A suivre, bientôt sur les écrans :
Etudiantes sauvages au gu2 : la compét de qualifs pour les frances universitaires.
Bleauwitch : la new génération poitevine aux prises avec de mystérieux blocs fantômes dans la forêt de bleau, et une crémaillère mystère chez les résineux mangeurs de lentiles germées.
Etudiantes sauvages au gu2 : la compét de qualifs pour les frances universitaires.
Bleauwitch : la new génération poitevine aux prises avec de mystérieux blocs fantômes dans la forêt de bleau, et une crémaillère mystère chez les résineux mangeurs de lentiles germées.